du mercredi 24 février au dimanche 6 mars
Lieu:

Berkeley Street Theatre
26 rue Berkeley, salle Upstairs

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Tarif:
Billets : Adultes de 45 $ à 49 $ | Âge d’or (à partir de 65 ans) : 38 $ à 42 $ | Moins de 30 ans/artistes : 30 $
Tarifs spéciaux : « Payez ce que vous voulez » les mercredis soirs et billets « Dernière Minute » à 20 $ les samedis soirs. Au guichet, une heure avant la représentation. Paiement en comptant.

Billetterie : www.theatrefrancais.com et (416) 534-6604 ou 1-800-819-498

Informations:
Une production du Théâtre français de Toronto
Mise en scène et conseils dramaturgiques : Guy Mignault assisté par Alex Côté; Texte et Interprétation : Edwige Jean-Pierre, Djennie Laguerre et Carline Zamar
Décors : Jorge Sandoval; costumes : Nina Okens; éclairages : Alain Richer; musique : Tamsir Seck; régie : Gabriel Dubé
Texte et interprétation : Edwige Jean-Pierre, Djennie Laguerre et Carline Zamar
Mise en scène et conseils dramaturgiques Guy Mignault, assisté par Alex Côté

Le Théâtre français de Toronto présente ESPOIR / ESPWA à l’occasion du Mois de l’histoire des noirs

Le Théâtre français de Toronto est heureux de présenter Espoir/Espwa, une pièce écrite et interprétée par Edwige Jean-Pierre, Djennie Laguerre et Carline Zamar. Cette toute nouvelle création du Théâtre français de Toronto est issue de son programme d’auteur en résidence. Dans une mise en scène de Guy Mignault, la pièce sera présentée à l’occasion du Mois de l’histoire des noirs au Berkeley Street Theatre du 24 février au 6 mars.

Espoir/Espwa est l’histoire de trois Haïtiennes qui partagent une envie commune : ne plus s’attarder sur la tristesse et la misère — car en fin de compte, mis à part un séisme, il n’y a qu’une seule autre chose capable de déplacer les montagnes, l’ESPWA !

Deux jeunes Haïtiennes ont le mal du pays. Nadège n’a jamais mis les pieds sur la terre de ses ancêtres mais, peu importe, elle sait que son chez-soi à elle, il se trouve là-bas. Quant à son amie Céleste, elle a déjà mis le cap pour Haïti. Elle ne pouvait plus rester à l’écart surtout après le séisme qui ravagea son pays natal. Il fallait aider. À tout prix. Par n’importe quel moyen. Sur place, elle rencontre Man Sara, propriétaire d’un petit commerce sur le flanc d’une montagne dans la commune de Jacmel. Mais Man Sara est bien plus que ça, « c’est la psychologue du coin… non encore mieux c’est la barman du coin. Sauf qu’elle ne sert pas de boisson mais de l’espoir. »

 « Trois auteures. Un lien commun. Haïti (AYITI). Trois personnages qui partagent un sentimentcommun. L’Espoir. (ESPWA). Trois énergies; trois démarches; un seul but : une fête au théâtre (FÈT TEYATRAL).

 «Quand il y eu le tremblement de terre en Haïti, je me suis fait la réflexion sur l’importance de notre métier, à savoir, si celui-ci était futile face à de telles catastrophes… je me suis levé et j’ai téléphoné à Djennie, Carline et Edwige pour leur dire que je voulais qu’on fasse un projet ensemble. C’était il y a trois ans. Aujourd’hui, je suis en amour avec le pays — sans y être jamais allé. Ce spectacle est mon premier voyage là-bas.» Guy MIGNAULT

 

Première : vendredi 26 février à 20 h | Représentations en soirée : du mercredi au samedi à 20 h
Matinée le samedi : 27 février & 5 mars à 15 h 30 | Matinée le dimanche : 28 février & 6 mars à 14 h 30
Représentations surtitrées en anglais : les mercredis et vendredis à 20h et les samedis à 15 h 30 et 20 h